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Hommage à Jean-Marc La Frenière rendu par Francopolis et ses amis

Publié le par CHEVAL FOU (Jean-Michel Sananès)

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Jeudi des Mots - 15 sept.2022 à Nice à partir de 18h30

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Hommage de la commune de Saint Martin-du-Var à l’artiste-peintre Emile BELLET

Publié le par CHEVAL FOU (Jean-Michel Sananès)

Hommage à l’artiste-peintre Émile BELLET (1941-2022),
habitant de Saint-Martin-du-Var, décédé le 1er juillet 2022.

La carrière picturale de Monsieur BELLET est très importante, sa peinture est  accrochée aux cimaises de la ParkWest Gallery dans le Michigan aux USA, une des plus grandes galeries de peinture américaines avec laquelle il travaillait en exclusivité mondiale depuis une quarantaine d’années.

La ParkWest Gallery a sur place une salle Emile BELLET destinée à ses expositions personnelles, et organise également des expositions de ses œuvres dans le monde entier, Japon, Norvège, Paris, …

    La “french touch” d’Emile Bellet

    Il y a chez Emile Bellet, peintre français ayant obtenu gloire et reconnaissance outre-Atlantique, cette « french touch » que les Américains aiment tant : cette capacité d’un peintre classique à se libérer du classicisme en toute simplicité, sans pour autant renoncer aux fondements du passé.

    Pour un instant…

    La femme est, et demeure, l’un des sujets de prédilection des artistes. Du mystère ancestral de la mère à la fascination immémoriale de l’amante, voici la muse éclairant le monde, comme savait si bien le dire et le peindre Dali.

    Chez Bellet, cette fascination semble celle d’un instant fugace, preque flou, qui se grave à jamais dans la mémoire. Une silhouette qui se découpe sur un fond à peine plus esquissé. Un instant de vie capturé par l’oeil, un instant d’envie livré comme un souvenir précieux.

    Autodidacte, Bellet a su prendre dans ce qui existait, choisir d’aimer la simplicité des aplats de couleur d’un De Staël, et la fureur chromatique des Fauves; choisir d’être amoureux de la fin des années cinquante, quand Grace Kelly était l’égérie d’Hitchcock et que les couleurs de la Méditerranée s’imprimaient sur les pellicules Technicolor de la MGM.

    Ainsi avec ses pinceaux et ses brosses, Emile Bellet nous conte un temps rêvé où les femmes, à peine sorties des crinolines, attendaient adossées à des rembardes de terrasses avec vue mer, le prince, assurément charmant, qui viendrait les délivrer de cet instant où rien ne se passe, mais où tout demeure possible.

    Car c’est cela que Bellet capte si bien, et qui l’a rendu si célèbre : la mise en image d’un possible à venir …
   
© Textes : Natacha PELLETIER , Passion Estampes

La commune de Saint-Martin-du-Var et son Maire Hervé Paul, présentent ses plus sincères condoléances à son épouse Ile ENIGER, écrivaine réputée.

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Deuxième été sans Tristan Cabral

Publié le par CHEVAL FOU (Jean-Michel Sananès)

Tristan Cabral est parti un 22 juin il y a deux ans déjà, mais il est en nous un espace temps surréel plus puissant que le réel, fait des présences subliminales qui nous habitent et encore prolongent nos dialogues inachevés. Tous ceux qui portent en partage les mots de Tristan, gardent un peu de lui, ce que confirme un message que je viens de recevoir et que je copie ci-dessous. Il est certain qu'il existe une dimension bien plus large que le cadran des heures.

Mes discussions avec Tristan, sur l'ailleurs, sur l'attente de l'homme sublimé et capable du meilleur, sur l'identité, nos désillusions, restent en moi présentes, peuplées de ces silences où la réflexion s'approfondit dans une fusion fraternelle des idées.

Des bribes de poèmes croisés qui nous ressemblaient me reviennent car les mots ne sont pas encre séchée sur un papier, ils sont briques d'âme ou de conscience, qui s'assemblent et peuvent porter haut cette ambition d'être plus humain qu'homme, et ce mot frère que nous vivons ensemble.

Je me permets donc de partager ce mot, reçu ce matin, qui affirme que les hommes habitent dans l'ombre de leurs mots.

: - A l'attention de M. Jean-Michel SANANES, (suite à un échange : L'été sans Tristan Cabral)

Quelques petits mots seulement, branjoles mais fervents.
Pour dire encore ma reconnaissance, mon amitié invisible et  chaleureuse au gang des "gentils" (mot déglingué !), des ardents.
Et à travers vous aussi saluer Tristan.
T. C. (de Bogota)

 

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Salon du Livre de Nice septembre 2021

Publié le par CHEVAL FOU (Jean-Michel Sananès)

Au plaisir de vous y rencontrer !
Au plaisir de vous y rencontrer !
Au plaisir de vous y rencontrer !

Au plaisir de vous y rencontrer !

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Avis de retour à la maison !

Publié le par CHEVAL FOU (Jean-Michel Sananès)

 

 

 

 

 

 

 

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Un bon hôtel déconseillé !

Publié le par CHEVAL FOU (Jean-Michel Sananès)

Photos : "Hôtel" Monaco et menu !
Demain, je jouerai à "quitte ou reste"
si anesthésiste et chirurgien ne me brisent pas le cœur !

Je vous dis à bientôt.
Jean-Michel

Centre-Cardio-Thoracique de Monaco

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Ile Eniger - Distinction

Publié le par CHEVAL FOU (Jean-Michel Sananès)

http://www.editionscheminsdeplume.com/2021/06/ile-eniger-distinction.html

Les Éditions Chemins de Plume sont heureuses d'annoncer que leur auteur Ile Eniger voit son magnifique livre d'artiste "Peu de Chose" publié par Le Libre Feuille avec encres et gaufrages de Michel Boucaut, avoir remporté la haute distinction de l’appel aux éditeurs de livres d’artistes pour un concours destiné à la reliure.  
"Peu de chose" a donc été accueilli au sein de l’école des AAAV (Atelier d’arts appliqués du Vésinet) pour être l’objet du concours de reliure adressé à tous les maîtres-relieurs et dont le résultat sera publié du 18 au 20 juin 2021.
 

Ci-dessous, le beau travail d'un des relieurs participant au concours : Laurence Larrieu.

Ci-dessous, publication initiale originale du livre d'artiste : "Peu de chose" - Textes de Ile Eniger - Encres et gaufrages de Michel Boucaut aux Éditions Le Libre Feuille.

 

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Christian Malaplate présente Jean-Michel Sananès - 1 ère partie

Publié le par CHEVAL FOU (Jean-Michel Sananès)

Cliquez sur le lien : https://youtu.be/5fibC6th8X4

La vie en images et les moteurs d'écriture de Jean-Michel Sananès, ses cris, ses mots, racontés par Christian Malaplate
Enregistré lors de l’émission Traces de Lumière  sur Radio FM Plus (-91fm)
le  30 mars 2021- Montage vidéo Chemins de Plume

Émission Trace de Lumière
Christian Malaplate nous parle de Jean-Michel Sananès, poète à identités composites,
à la conscience aux sensibilités fractales, voyageur de l'exil
 toujours en quête des royaumes d'utopie.
Le temps de l’émission, qui révèle la poésie engagée de l'auteur,
ne permet pas d'aborder l'ensemble
de ses thèmes centraux, tels la tendresse,
 l'humour, l'impertinence des aphorismes,
 et le quotidien poétique de Jean-Michel Sananès.

 

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Un ami s'en va, Tristan CABRAL nous a quittés

Publié le par CHEVAL FOU (Jean-Michel Sananès)

À Tristan,

 

C'était un homme tendresse, une blessure, une déchirure,

le fils de l'absolu respect de la vie et d'une mémoire meurtrie.

C'était cet enfant blessé au point zéro de sa jeunesse,

écrasé par la folle croyance en ce possible-impossible

qui avait écorné ses hiers

et plus loin que la vie broyait les devenirs.

C'était un homme frère de tous les hommes

qui mesurait la distance entre la bête identitaire et l'homme Un.

Comme un oiseau dans le miroir,

il se heurtait aux fossoyeurs de l'espoir.

Il était l'homme frère des hommes,

le cri de l'impuissance

perdu dans un monde d'in-amour.

Il était Tristan,

l'homme qui regardait l'enfant derrière les barbelés,

l'homme qui portait en lui toutes les blessures du siècle.

Sans apartheid, il était Barcelone, Auschwitz, Srebrenica,

il était un des suicidés d'Argelès-sur-Mer,

Il était un désespoir d'homme sur le chemin.

cette petite route où se cherche l'enfance,

il était l’enfant de cendres.

Il est la présence qui me parle, il est mon ami.

 

JMS

 

 

L’enfant de cendre

 

Le corps plein de larmes, les poches pleines de pluie

Il écoute

Il entend des voix sous la cendre

Dans les couloirs, dans le parc, il répète :

"Vous les entendez ces voix sous la cendre ?"

Tout le monde hausse les épaules

Et les infirmières disent :

"Tiens voilà l’enfant de cendre" !

 

Tristan Cabral

 

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